Sous les toits parisiens, de nombreux logements classés comme des passoires thermiques sont en attente de rénovations. À partir du 1er janvier 2025, les biens immobiliers évalués en "G", la catégorie la moins performante sur le plan énergétique, ne pourront plus être loués. Cette nouvelle réglementation pousse de nombreux propriétaires à entreprendre des travaux d’amélioration. Par exemple, dans un studio de 9 m², les rénovations visant à passer du classement "G" à "D" touchent à leur fin. Les travaux, qui ont inclus l’isolation des fenêtres, des murs et des combles, ont nécessité un investissement de 9 000 euros. Le propriétaire admet qu’il n’aurait probablement pas engagé ces travaux sans l’instauration de la loi.
Les logements classés G sur le point d’être interdits
À l’approche de l’échéance, les entreprises spécialisées dans la rénovation sont fortement sollicitées pour répondre à cette demande urgente. Les coûts pour améliorer significativement la performance énergétique d’un logement se situent entre 800 et 1 000 euros par mètre carré. L’interdiction des logements classés "G" représente une première étape ; au-delà de cette date, d’autres classes de passoires énergétiques seront progressivement exclues du marché locatif dans un délai de dix ans.
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Source : www.francetvinfo.fr